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R. E
les infümces
de
Clémenrine. Jeronimo pen;
choit
a
la fatisfaire ; mais
le
direél:
eur foni–
.fiant les craintes de
la
marquife ,
ro.utle
poids que les infirmités de mon ami don–
noient
a
fes confeils' ne l'avoient point em–
porté fur celui du pere Marefcotti , fans une
cntreprife de Clémentine qui les alarma tous,
&
qui les obligea de fe rendre
a
fes déGrs.
C'eft de Camille que j'appris un détail
fort
étrange , dont le fouvenir me déchire en–
care le creur,
&
que je ne puis con.fier qu'a
vous.
.
.
Lamaladiie de Clémentine, apres quelques
favorables fymptomes, revinr fous une autre
f.lce. L'agitation ou elle avoit été conti-
- nuellement '
.fit
place
a
des apparences de
~ranquilliré
, dans lefquelles elle paroiífoit
fe
plaire beaucoup. Mais comme on ne lci
permettoit point de fortir de
fa
chambre,
cene contrainte la chagrina. Camille
l'
ayant
laiífée feule pendant l'efpace d'un quart–
d'heure ' fut exrremement furprife ,
a
fon
retour de ne la plus retrouver. Elle jeta_
auffitot l'alanne dans touté la maifon.
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vifita tous les appartements
&
toutes les par–
ties du jardin. Mille idées funeíl:es, qu'on
n'ofoit s'expliquer l'un
a
l'aurre, faifoient
craindre de trouver celle qu'on cherchoit
avec tant de foin.
Enfin Camille voyant, comme elle fe l'ima·
gina ,
untt
f
ervante qui defcendoit l'efcalier
a
·pas comptés, s'emporta contre elle,
&
luí reprochá
fort.
améi;ement d'et¡e
{i
tran-