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1!
norrefüuation. Cette chere fille
br~le
devous
encretenir. Qui
f
ait
fi.
votre complaifance
&
la mieqne n'auront pas quelque heureux
effet? Elle efi: plus compofée depuis- qu'elle
s'attend
a
vous voir. Son efpérance eíl: de
vous convertir. Plut au ciel , me dit Jero–
nimo ' que ce miracle fUt réfervé
a
la com–
paffion
!
Que je vous plains , Chevalier
!
Quelles épreuves pour votre humanité
!
Je
lis votre affiiél:ion dans
vos
}'eux. Hélas
!
lui
repondis-je ' elle efi: bien plus profonde &
plus vive dans mon creur.
La
marquife
fit
demanderafa fille
fi.
elleétoitdifpoféeanous
iecevoir,
&
Camille vint nons dire qµ'elle
nous auendóir.
(
N.
Quelque jugement que l'on puiífe
porter de la
fcen~/uivante,
il paro1t nécef–
{aire de
la
conferver_pour donner quelqu'idée
de celles qui luí reíiemblenr ,
&
qu'on
fup–
prime
).
Clémentine , continue le clievalier dans
les
exrraits du doél:eur , éroit aílife prt:s
d'une fenerre,
un
livre
a
'la main. Elle fe
leva d'un air fort majefi:ueux. La m:irquife
alla vers elle , fon mouchoir aux yeux. Je
la fuivois; mais aquelques pas jem'arrerai'
pour faire une profonde révérence. J'avois
le creur trop plein ' pour erre capable de
parler. ClémenrinP. ne parur point dans le
meme embarras. Elle me dit,
fans
héíiter,
vous ne m'eres
plus
rien,
M.
Grandiífon,
vous m'avez refofée,
&
je vous en remer–
óe : je
YOllS
approme
meme ,
car je
fui~
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