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Ctnv.
GtlANDI•SSóN.
,..;
eCtd'un bon augure, Sij'ai di(pofévorre crear
~
m'obliger, peurquoi ne ¡:>ouri-0is-je pas
difpofer le fien as'
o:bli~r lui-meti~e?
Jen'ai
pas d'autre vliie. Il tn'.a. forvi de préceprnur.
je vomlrois
lil!l~
re11d1:e le tn&'1;i;ie.offü:e, Mai§
il faudra rne faiífeo. fouté a.vec lui , car oes
úer$ homrnes lioogtffenu en compagnie, de
fe
voir convaincus p·ar une fill•e.
Quoique le detfein de
{a¡
mere
n'ei1t
été
~ue
de cafmer fon efprit parcette prnmeffe •
l heureux effer qu'dle lui vit prnduire
&
1a
¡;;rainte d'une nouvdle tentative, qui
pou~
voit ti;omper la'vigi•krnce de tous fes gens,
l~
détennina tout Hair
~me
própo(er ui'l'e :vi'f1t<t-•
Alle.z, die-elle a C.unille. Il n'y a point d'ap..
parence qu'
il aitencore quitté Bouiogne.
-Faites-lude
réc.itde tout ce· qui s'eíl: pafié.
S'il veut
fo
preter
a
nos
ü~tentíons,
pel!l:t–
étre n'eít-il pas encore trop tard; ·mais il né
doit pas attendre le rerour du pere
&
des
deux íiils. Cepencla:mt
je
ne rne pvcHnets
rie11
de eetredémarche. 'f0ut tle que fen e(p-ete,
e'eíl: de rendre un peu de
tranq'l!li~lité
a
1na'
filie. Elle paífa dans l'appanemem de Je110-
nimo, f>ONr lui
eommrm~iquer
G:ette réfolu–
tion , doB•t elle étóit! fUre,
bi
d~helle ~
qu'il
autoir beaucoup de joíe;
&
Camille me vine
annoncer fes ordres,
1
Je ne balans:a
i poi1~t
a
les fuivre' .quoi–
qu'exrrel11etbenu
agi.uéde tout ce q11e j'avois
appris.. Je rrouvai encore la marquife dans
l'appartetnem de mon ami. Camille , me
dit–
e11e
auBitor ,
a
dú
vous rendre compre de
, D ,._