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bU CH!!V. GR.ANDÍSSON•.

H9

Ét

ne feroit-ce pas m'expofer au reproche

d'avoir

violé

les articles? O mon cher Jero–

nimo

!

les chafes doivent demeurer telles

qu'elles font)

a

m~ins

qu'elle ne puiffe penfer

mieux de ma religion, ou moins favorable–

ment de la G.enne.

11

e!l: revenu

a

me párler des obligations

de

fa

famille. Je lui ai déclaré que ce langage

étort le 1eul ch,ígrin qu'il put

me

caufer.

De

grace, lui ai-je dit, qu'il n'en foir plus que[–

tion. Tour le monde n'eíl: pas excité par l'occa–

íion, comme j'ai eu le bonhcur de l'etre.

Mon ami porteroir-il e1wie

a

111011

bonbeur?

Le plus ardent de mes va:ux, cher doc–

teur' feroit

a

préfent d'imaginer quelque

chofe que je puiífe accepter pour fatisfaire

des ca:urs G. reconnoiífants. Je fouffre de me

voir placé, par eux-memes, dans un jour

qui

doit les

faire

foufüir. Que ¡;üis-j.; fain:,.

fuivant mes notions d'amitié, pour foulager

leur reconnoiífance?

11 craignoit, a-t-ilrepris, que je ne penfaíTe

bien~t

a

les

quitter. Je lui

ai

dit que' ne

doutant plus de la per(évérance de Clémen–

tine,

&

du confentement qu'elle donneroit

a

mon retour dans ma patrie) je devois fou–

haiter pour moi-meme, comme pour elle,

qu'il me fut permis de bater mon départ.

d'autant plus que M. Lowther confenroit

volontiers

a

demeurer apres moi.

La marquife eíl: entrée..Clémentine, m'a–

t-elle dit , appréhende que vous ne nous

quittiez bientot. Elle eíl:

a

fe promener an

K

1.