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vorre abfence, Prenez Grandilfon au mor.
Ramenez-le avec vous, lui, fes fcrurs .&
leurs maris. Mais, Chevalier, quel remps
choifüfez-vous pour votre dépan ?
Je lui dis que le plutot feroit le mieux,
parce que la faifon ne pouvoit erre ¡::lus
fa–
vorable. Je répétai que cene réfolution me
combleroit de joie,
&
que c'é,oit l'unique
mayen de s'acquitter de ce qu'ils nommoient
leurs obligations. Je leur promis de revenir
avec eux. La fanté de Clémenrine, ajoutai–
je, fera confirmée alors;
&
celle du feigneur
Jeronimo parfairemem rétablie. .Avec quelle
fatisfaél:ion ne fe reverront-ils pas l'un &
l'autre?
On ne me demande que ju(qu'au lende–
main pour renir confeil,
&
pour me donner
m~e
explicarían poGrive.
'
M. Lowtber
&
fes collegués, qui ont éré
confuhés ce marin , jugenr qt:e le fe1gneur
Jeronimo pourroir erre rranfporté en liriere)
jufquºau port le plusvoiíin,
&
s'y emb:irquer
pour l'Angleterre ; mais que le plus
sur
eft
d'attendre au prinremps, parce qu'alors
les
nouvelles chairs feront tour-a-fait raffer–
mies. On promer que Jeronimo , les detLx
fils du comte,
&
quelques autres perfonnes
de la famille, entreprendront abrs le vovage.
Dans l'inrervalle, le pxélat,
&
le pere Ma–
refcotti , fe chargent d'enrretenir un com–
merce de lettres avec moi,
&
!le m'informer
de tous les événements.
Clémentine a pris le chocolat avec nous.
On