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T

o r

:n.

!

a

toute forte de prix le mouvemcnt de

fa

conviél:ion.

O Monfieur

!

vous éres dangereux , je

m'en appen¡ois. Si certain événement étoit

devenu réel, j'étois perdue. N'etes-vous p:1$

convaincu , Moníieur, que dans mes prín–

cipes j'étois abfolument perdue.

Si

vous

!'eres, j'efpere que vous agirez aufli fuivant

votre oonviél:ion.

11 me femble, cher doél:eur, que me con–

noiifant fi bien, elle pouvoit s'épargner cette

rét1exion badine. Elle a meme fouri en la

pronon~ant.

Remarquez qu'elle eíl: déja ca–

pable d'enjouement, dans une occafion

ú

grave. Peut-etre a-t-elle voulu prendre un air

qu'elle me voyoit affcél:er-moi-meme. Mais

enfin je commence

a

croire, quelqu'éloignée

s_u~elle

foit a préfent de

{e

l'imaginer) qu'il

n'eíl:

EªS

impoff.ble qu'avec le remps elle

1~e

f

e"lailfe amener au

f

enrimem de fon devoir,

lorfqu'il lui fera repréfenté par des avocars

wfli

puiffants qu'dle en a d:ms

fa

famille.

Quoi c;_u'il puifk arriver, fi c'eíl: pour fon

hcnneur

&

celui de tous les fiens, je ne puis

erre tout-a-fait fans joie• .

J'efpere, lui dis-je, que vos déíirs pour

la retraite feront du moins fufpendus. Elle

ccnvint de la force de quelques-uns de mes

raifonnements ; mais je crus appercevoir

qu'elle n'abandonnoit_pas entiérementl'efpé·

rance d'obtenir le confemement de

fa

fumille.

-Le général

&

le comte, qui étoient reve–

nus dans l'!ntervalle ,

fe

haterent de me ve-