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une favetilr que pour moí. Je me
flatt~
qu6'
le feígn<i!ur Jernnímo ne parríroit pas
fans
quelques-uns
de
fes amis. Nos ooins
fonr
ref–
tauratifs. Je ne manqueroís pas de
l'y
con–
duíre rnoi-meme. Ladffférence du clímat peut
lui devenir avantageufe. Que j'aie
fhon–
neur, Metlieurs, ajoataí-je·, en promenam ·
les ye1
1
x
amour de m oi , de vous recevoír
1!cus en Angleterre. Ce
fcra
vous acquitter
pleinemenr des obligarions
que
vous relevez
avec tant de boHté.
Ils ccntinuoietit de fe regarder en filence.
Flíh au ciel, reprís-je, que vous-meir.e, Mon–
.fieur,
&
vo1:1s, Madame, (en m'adreffimt
:in
pere
&
a
la
mere) vous fui1iez di[pofés
a
n:e faire cene faveur. Vous y peníiez aurre–
fois dans une hemeu[e fuppcíitíon. J'enga–
gerai lTCS deux fceurs
&
leurs marÍS a
VOUS
acccmpag-ner avec mci dans votre retourjuf–
qu'a Boulcgne. Mes fceurs ernbralleroient
avec joie l'occ:::F.cr1 de vcir l'Ir::lie,
&
d'ac–
€JVérir l'amirié de l'incomparable Clérnen–
tine, ck:m·t elles réverent déja le caraét:ere.
1
epr fiieJKe ccminuoit; mais pcrfcnne
ne
frrr
bl-0it défo.pprouver mes infrances : cet
honrieur, Meiieurs, cerre grace, lvladame,
íerciti d'un aul!fe avanrage pour moi.
Apn:s
les efpératxes
c;_ue
vous m'aviez donrées,
retourner
fed
d..
ns
ma patrie,
e'eíl:
y
re1irrer
en 1'-omrre t¡ui
fuir, & qui revíenr
m:Urraif:..
_Mf'rv•rryeiJ
n'y
efl:
pas
m<!ins intéreífé
que
1T'a
(arisfaélion.
Je
vcus
el.he111'1
loirement
a
la ville
&
a
J,:a
campagne
. Je n'ai rien
dont je