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E
plusqu'homme
~
íi
je n'en étois pas
vive~
menr touché.
Vous devez l'etre .fans .doute,
&
j'entr~
cordialement dans vos peines; mais, cher
Grandiffor, c'eíl: Dieu feuJ qu'elle
préfer~
·~
vous, Elle fouffre plus que vous ne pou–
vez fouffrir. Elle n'a,
~n'
a-t-elle dit, qu'un
1TIOtif
de co¡1folation, c'eíl: J'efpérance de
re pas vivr.e long-remps, Chere fille
J
Elle
fe
flatte qu'elle doir le retour de
fa
raifon aux
ardenres prieres qu'elle adreffoit au ciel,
dans fos inreryalles lucides,
&
dont l'unique
objer éroit la confolation de fes parents;
~rh
quoi, .elle n,e
for¡neroi~
pas d'aurres
vreux, que pour une meilleure vie: Mais,
Chevalier,
íi
votr_e cceur
dl:
dap.s une fitua-
rion
íi
violepte.•... ,
/
_
N'en doutez pas, cher ami, Je ne fuis
pas un homme infeníible. Cependant, quanc!
on réui1iroit aujourd'hq-1
a
faire defcendrjf
Clé~n~ntine
pu
pojnt jde grand.eur oü elle
s'eíl:
élev~e,
q
uelque farisfaébon que mes
défirs
y
puffenr
trouv.er, je n'en jugerois_pas
. moil1s que íi
fa
confcience en éroir bleílée,
~e
feroit une
diminur~on
pour
fa
gloire.
Et
p1e feroir-il po!Iible, comme elle
l'
a
fort
bien.
obLerv.é dans une de fes lettres, de voir une
époufe chérie,
m~Jh~ureufe
par fes fcrupu·
les, fans
m'efforc~r
de rendre la paix
a
ÍOll
~reur,
en les écarrant? Et pourrois-je efpérer
f!Uelque fucces, fans luí faire une peinture
ªVílnta¡;~uf~
dr
¡a relig;ion que
j~ prof\:tf~
1