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u~

H1~-r01tt~

., pour te forrifier

~

Apres avoir pris,

p:tr

'', le fecours du ciel, une réfolution digne·

" de ton caraél:ere, douterás-tu

íi

ta es

,,

capable d'y períiíl:er,

&

luí d'.onneras-tu

" lieu de croíre que tu en domes

?

Con-

fentira+íl encore

a

d'officieufos abfen–

" ces, pour faire

l'

eflai de ta force?

&

fu–

,,

comberas-tu dans l'éprenve; non, Clé-.

" •1nentine. "

Enfuíte fe tournant vers moi, rnais les

yeux baiífés ; je renouvelle, Moníieur, tous

mes remerdmens pour la généreufe cornpaf–

fion dont vous m'avez donné tant de preu–

ves. Ma trííl:e fituatíon m'y donnoit peut–

etre quelque droít. J'y reconnoís la main du

ciel, qui a peut-etre voulu punir mon orgueíI,

&

je m'y foumets. Je reconnois meme, fans

home>

l'

obligation que

j'

ai

a

votre pitíé ,

&

j'en conferverai un cendre fouvenir ju(qu'au

dernier iníl:ant de ma vie. Je fouhaite que

vous vous fouveniez de moí avec la meme

tendreífe. Ma viene peur erre longue: ainíi,

pour céder

a

vos déíirs

&

a

ceux d'une

chere famille, je fufpendrai les vues que

j'avois pour le cloitre. Il me reíl:e l'efpérance

de vous voir en Angleterre, dans l'heureux

état dont

j'ai

parlé; fur-tout > enfuire

a

Boulogne. Je vous croirai de ma famille,

Je me croirai la veme. Dans ces fuppoli–

tions, dans ces

e(

pérances,

j'

ai

la force de

confemir

a

votre départ. Si je vis, c'eíl: une

abfence de peu de mois. N'ai-je pas foutenu

aífez bien

h

derniere? Je vous laiífe done,