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it
Í!
.
·prife dans fes bras. Ma fille
!
ma Clémentine
1
d'ou viennent ces larmes. Regardez-moi,
n1011
an1our;
~
Ah Madame
!
le jour, le jo
eíl: fixé
! .•
lundi prochain ...•
~.
le che-.
r
quittera
Boulogne.
Quoi, Chevalier
?
vous nous quitteriez,
fi-
t&t
?
ma ehere, nous obti_yndrons de
hu....
.
Je me fuis levé, fans prononcer un mot;,
&
je fuis entré dans une all<'.:e qui traverfoir.
J'etois pénétré }ufqu'au fo11d du cceur. O
doél:eur Barlet
!
Tant de- honré¡ Pourquoi
fuis-je
íi
fenGble
&
fi
fouvent expofé
a
des
épreuves qui demandent plus de force
!
Le général, le prélat,
&
le pere Mare".–
cotti font venus me joindre. Je leur ai fait
le récit de ce qui s'étoit paífé entre Clémen–
tine
&
rnoi. re rnarquls, qui
úoit
aHé veis
fa
fille, m'a joint prompternent, apres avoir
entendu ce qu'elle avoit eu la force de lui
raconter auffi. Comment pouvez-vous pen–
fer, m'a-t-il dit,
a
partir
íi
brufquement?
Vous ne nous quitterez pas íi-t&t.
Non,
íi
Clérnentine
1
ordonne. Mais
fije
ne fuis pas retenu par fes ordres, le plns
prompt départ ell: le plus avantageux pour
moi. Je ne puis foutenir tantde bontés. C'efl
la plus divine de toutes les fernmes.
Vous ne manquerez point, m'a dit le
gé–
néral, d'entretenir un commerce de lettres
avec ma freur. Perfonne ie::i ne s'y oppofera.
Comme
elle
vous a
déja témoigné qrt'elle