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ll.2.S

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s

T

o

1 R

l!

de_pouvoit etre furmonté

!

Mon cher Gran;;

aiífon (en prenant ma main) ne peut ....

Mais je n'o{e plus l'en prelfer. S'il le pou–

voir, mes propre-s enfants .1.1e me feroientpas

plus chers que lui.

Vous m'honorez beaucoup , Monlieur;

vous engagez ma plus vive reconnoilfance.

Ce n'efi pas fans difficulré que je fuis capable

de foutenir, lorfque je fuis avec elle, l enga–

gement que j'ai pris de ne lapas prelfer d'erre

a

moi. Je l'ai exhortée, comme vous l'avez

vu)

a

fe conformer aux defirs de fa famille;

&

je

con~ois

tour ce qu'ils renferment. Il

y

a beaucoup d'apparence que

fi

'!'un

fe

dérerminoit au mariage, l'aucre en feroit

plus tranquille,

&

j'aimerois mieux fuivre

l'exemple que ledonner. Vous verrez ce

que

mon départ aura produit : mais elle ne

do.ir

pas erre trop prdfée. Ce feroit s'exp

ofer

a voir renaÍ:tre fon emprelfement pour le

cloltre; le point d'honneur fe joindroit peut–

erre a

fa

piété;

&

íi

l'on n'accordoit ríen

a

.fes défirs, elle pourroit retomber dans toa–

.tes fes difgraces.

Ils s'accordent

a

fuivre mon opinion,

e'

eíl:-a-dire,

a

prendre le partí de la patience,

en attendant un heureux effet de l'avenir.

Je les ai quittés, pour retourner chez Jero–

.nimo'

a

qui j'ai communiqué l'état des

cha–

fes ,

&

le jour marqué pour mon déparr.

Avec

~uelque

rendreife que je lui aie fait

cette déclaration, fon chagrín

m'

a paru

fi

vif, que fentant croitre beaucoup le

mi<:~1 ~

J

a1