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H
1
s
T
-O
:r
'R.
I!
íels,
&
fi
proche d'elle, que j'en ai
fenti –
:I'utilité, dans lebefoin quej'avoisdumeme
{ecours. Suis-je
pardonné.e
?
m'.a-t-eHe dit,
en
repr,enant un
p.eu[es
efprits; dites que
je
le fois. Pardonn
ée, Mademoi[elle?
Ah!
vous
,n',avez r¡en fait qui ait befoin de pardon,
.iJ'adore v.otr.e g,rnn.d
eur,d'ame. Déclarez vos
volomés for mo.i,
&
to.utmon bonheur fera
,de les [uivre.
J.e
l'
ai conduite
a
fa
chaifo ' j'ai ,mis fans
ir.éB.exio:n un genou
.a
terre .devant elle,
&
.renant (es <leu.x ,mains dans les miennes, je
.fuis i.lemeuré dans cette poíl:ure '
a
la regar-
4er avec des yeux qui
a1'
exprimoient pas les
¡Jilouv.eme.nts de man creur, s'ils n'étoien¡
·pas a1"dent-s de tend.reífe
&
de
refpeét~
{:amill~
avoit couru chez la marquife ,
·pour lui rendrn compt.i; de cette étrange
fr
ene,·
L~
marqu¡s,
~e
préiat , le
co~nte
&
le
p.er,e f\!farefcotti , qui attendoient le focces
· ,de
mavifire , onr éré
farpris de e.e qu'ils
~opt
enten<lu , mais ils en
ima~inoient
peu
la
caufe. La marqui[e, s'empreílant d.e revenir
a:vec Camille,
m'a
trouvé dans la
meine
'atcitude ,
e'
eíl:-a-dire,
·a.
genoux , les
deu~
.mains
ele
fa
filie dan-s les mi.ennes. Cher che–
'valier, m'a+élle dit,
mo.d~rez
le tranfport
pe
;votre reconnoi!Tance, par rnénagement
pour la
fant~
de ma fille: Seníible com¡ne
·elle eíl: '
je
vois
a
fes yeux .qu'il
y
a
quelque
¡;lai1ger.;..
Je me fuis levé, j'ai quitté les
mains de
fa
frl.Je'
&
faifüfant une des fiennes
¡
p
~.~da}n~
J
ai)~·r~pori_gu~p.pp.t~F,roµipapi:,