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H
r
s
T
o r
1\
r:
Elle
ne
fauroir
vivre, dir-eHe , s'il·veos
re!te·
qllclque
reífentimenr~
Je vous vois
dans
une
grande
agitatio.u
d'efpric : h1i
en
rer.Jdrai-je
~mpre..:
·
.Aifmez-la ,.
chere Camille,
que
je fms.
foum.isa
toutes
fes Y0J'ontés ;.que foR repos
m'efi pros pPécieux que 1-na pwpre vie; que
~
ne
fois
pas capablede
te!f
entimenr,
&
EJ.~1e
-.jer
admire-plus
~ue
j.e
ne
puis
l'
exprimer._
' Ca-mille m'ayaht quirté,
j'ái
bientbt vir
pa:ro'irre le-pere
Marefcottti, •qui>m'a•príé
de
rejoindi:e
la.
famille ·dans
l'
a:pparrement de
Jeronim0. Nous
y
fommes rerournés· en–
fomble.
Le pere s'eíl:
contenté
de
1ne-dire,
en·
marchant , que
le
ciel connoiíf
oit
l'eul
c~
qui étoit le
plus a"\l'áJÍ.tagciux
•aux h0mmes
?.
que pour
lui ,
dan.s., une occa'íion
fi
e.Xrraor..
d~naire
, il ne·
pouvoit
qn'·adrnirer
~
a;dbl!er-
~n
Gleuce.
,
l
;,
,
·, Tout
leºnomc:ks'éranr ajlis ,
le préfat m'a
tenu ce
difcouis :·m6n
cher chevaliei:·,
nous
~claronhous
que-vous
vous
eres
a:cquis des
cimirs
immorrels.
fnli ·
110~11~
recooonoiífance,
U
eft
co11fü.-Jl11;é
qu-e
1wic
fceur 'be [era
qu'3'
vous. Nous fommes taus
du
m&'me avis fue
f;e
pomr.
Ma. mere,
f
e.~h~ll1ge
de luiiparle.l'
<.m
vorre faveur.
-
'
1 '
. Je
fens
rom:e
ferehélüe
d'e
cetré.l5onté.
: , Máis
fi
Clerneniecine Jlerfitle ,
qu'~urai-je
a·
dí~'e
,,
lorfqu'.hlle
me;pr~1fera ~olernnellem~nt
de
b.
four
ernr· dar~
ifa
ü:folünó1Y,
&
de ne
pas
t
a .tne\ttré.'.
dans.hu rre<retliré.
d~
p:t'én.dre
a\l:in:;¡
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;ige.dela
g6mél'o{ ité.defa.fanü11<i:
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