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Y. G

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D I S

S

O

N..

I

'j

f

Ne doutez pas, Chevatier , a répliqué le

prélat, qu'elle ne

fe

laiífe:iifément perfuader.

Elfe

vo11s aime.

Ne

reoonno'.ir-elle

pas

dans

cet écrit,

«

qu'il eíl: en votre pouvoir de lui

" faire violer ou remplir

fa

réfolution ,

&

., <!le

joindre

a

fo11 nom celnrque vous fou–

)) haiterez

1Y

?

Nous for.nmes rous conv<ÜHcus

qu'elle ne foutiendra point fon enneprife.

Vou~

voyez qu'elle a recours

a

vous , ponr

él1

obtenir la force. En un

mor,

perrperrez·

que je fois lepre1úier qui vous embraffe fous

le non-i de

frere~

. Il

a pris

rriá

main ,

&

m'

a

fa:it

I'

honne.ur

de·

h1'e1ñhralfer. Rien de

íi

noble, lui ai-re dir.

Je m'abandonne

a

votre conduite. Jeronimo

tn'a

tend1:1 affeél:ueufemenr les bras, & m'a

·. falué fous

le méme titre. Le marquis ,

le

comre, m'ont pris focceffivement

la

main,

&

fa marquÍfe m'ofli:mt

fa f

ieHné,

1-e

YaiJ

pr'elfée de mes levres. Je fu.is forti

auí!it0~

pour

re~ourner

droit

a

mon

logemeilt' Íe

creur , o doél:eur Barlet

!

plus pénérré que

je ne i:uis dire,

d'

un

délai

ú

étrange

&

fr

pcu

prevu~