lj2.
f-'1
I S T O
I R E
le dis avec
up
rnortel regret ;
rnai~
il le
faut. Vous né refoferez point de vous me-.
forer.•. Le cort(entement n'eft pas encore.
donné. Vous ne, déroberez pas ce tréfor
a
l'Italie. Faites-moi l'honneur de
fortir
a
ce:
-mon1ent avec moi. ·,,
Malheureux comte
!
Qaeje vous plains
!.
Vous connoilfez mes .príncipes. Il elt dur ,
apres la conduite que
j
ai tenue, de
fe
voir
invité...... Faites-vous explíquer tous mes
procédés , par le prélat , par le pere Maref–
cotti ' par le général rneme )
qui
a roujours
été de vos amis ,
&
qui étoit autrefoís
fi
peü des miens. Ce qui les a fait entrer _dans
I
des íentimel1tS auffi COntraireS
a
leurS incli•
nations que vous le penfez , ne peut erre fans
:force fur une ame auffi noble que celle du
comi:e de Belvedere. Mais
a
quelque réfolu–
rion que les éclaircilfements puitfent vous
¡;>orter, je vous déclare d'avance que je n'ac–
cepterai jamais votre
rendez-vous ,
·qu'~
titre d'ami.
Il s'eft· tourné,
av.ecune vive émotion.
Il s'eíl: promené dans rna chambre, comme
un homme irréfolu. Enfin ,
{e
rapprochant
de
moi,
d'un air égaré: je vais de cepas,
m'a-t'il dit, voir le pere Marefcotti, le
préla1: .. leur faire connoitre mon défefpoir
?
&
fi
je perds l'efp.érance•.- ..
O
chevilier
!
Je vous le répete encore, Clémentine ne
fera point
a
vous pendant ma vie. En
fo~·rant
>
il a regardé autour
de
lui
,
conune s'il