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. Ces
quali~és~
M,9nfieur·, réellesou 11ol!1.;
·
ne doivent
~tre- t~prnchées
qu'a ceux qui
-yeuie1.its'en
pr~valoir.
.Mais
permette~
que
¡e vous-fa{fe ui1e q'l!!eíhon :
·fi
".ous n av1e.z
-pas d'aurre obíl:acle que n.1oi, auriez-vous
..quelqu'efpérance al'affeét:i0n deClémentine?
. Autfi· long-temps qu'elle ·ne {era· point
mar.iée,
il
m''e!tpennis d'efpéret<.'Sans
vc;me
-i.:etout,
je
ne dome poin
t
¡qu'ellé n'
e(h
été
a
moi_.. · Vous.'.' 'iúgnorez 'pas . qµe
fa
11na,..
ladre n'auro1t-pioiHt éré capalDl'e de mar–
·reter. ·
,
Je.n"ai rien
a
roe reprocher dans ma con–
~uite.
C'efl:, Moníleur, Je point eífentiel
pour moi, qui n'en dois compte a perfonne..
,Cependarír,
ti
vóus en avei quelque doute,
:éclairciffez-vous. J 'ai tant d'ef!:ime
pour
le
comte de Bdvedere , que je ·fo11haire fmcé–
remenet de mériter la íienne.
Apprenez-moi done, Chevalier, quelle
·efl: aétuellemenr votre fituation avec Clé-
1nentine , c;:e qui s'eíl: conclu entre vous
&
la .famil¡e ,
&
fi Clémenfrne s'eíl: déclarée
pour voi1s
?.
Elle 11e s'eíl: point encare ouverte avec
moi. Je répete que l'efüme du comte de ·
Belvedere m'eíl:p11écieufe;
&
je m'explique–
rai par conféquent aveeplus de franchife qu'il
ne doit
fe
le promettre de lthumeur chagrine
fitlÍ
paroit le dominer dans cette vifüe.
J'ai
paro}e, cette apres-midi , pour un
enr~rien
avec Cléme)ltine. Totú efl d'accord avec
fa
famille
C?c
moi. Je me fois impofé pour regle