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· HtSTO .Ill'll:

pak1is della Ponetta. Je ne fuis.pas tranquiíle

fur le·rcíót deCamiUe. Ne

~narque+il

point>

tlarrs

fa

maitreíf

e,

une imagination trop

échauffée pour une occaíion de

cette

impor~

tance?

&

ne dois-je pas craindre qu'elle ne

foit ríen moins que rétablie?

'.tETTRE

LXXVIII.

Meme jonr, au foir.

JE

vaudrnis recueiUir

mes·

efprits, mon

cher

&

refpeél:able doéleur, pour vous faire

un

détail, que vous trouverez

forr

furpre–

nant. Clérnentine efi:

h

plus noble filie qui

foit au monde.

Qu'

arrivera-t-il enfin ... Mais,

r

ai befoiu

d'

un creur plus tranquille, &

-d'm1e main plus ferme, pour. etre eJ:1 érat

ele

continuer~

Je me

orouve

un

peu

moins

agité. Me.!

pre1:nieres 1ignes demeureront, pour voU$

faire iuger quelle étoit

l'

émotion de mon·

atne, lorfqu'en arúvant, j'ai teaté d'écrirc

rnille

chofes qui venoient de fe paffer fous

mes

yeux.

Camille ro'attendoit d'ans

Ja.

premiere falle,

avec

ordr~

de me conduire chez la mar.quife.

J'y

ai

trouvé

avec elle

le

marquis

&

le pré-