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Gn.ANDISSON'.
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2'.'0it pluíieurs fois pleuré ; que dans d'au–
tres moments elle foupiroit: qu'clle n'éroit
pas
contente<le fon habillement; qu'elleavoit
v.oulu d'abord etre en noir , puis
~n
cou–
leur; qu'enfuire•elle avoit demandé une robe
bleue
&
argent,
&
qu'elle
s'
éroit déterminée
enfin pour un fatin blanc tour uni. Elle pa–
roit
un ange dans cette parure , a concltt
Camille
>
mais qu'il feroit
a
fouhaiter que
fes.
yeux
&
[es
mouvements fulfent
un
peu plus
compo[és
!
Je prévois de la difficulté pour vous, m'a
dit le prélat. Tomes ces agications marguent
encare quelque défordre.Cep
endant,
fi
pro–
che él'une entrevue qui dait
fin.irpar une
déclaratian en vatre faveur,
elles font juger
cambien fon creur eíl: intére!fé
a
cet évé–
nement: puiífe-r-il faire votre bonheur
&
le
íien
!
Je
ne· crains rien pour le bonheur de ma
fille , a dit la marquife, dans taut ce qui
dépendra du cheval.ier. Je fuis sÚJ:e de
fa
tendrelfe paur eHe.
Il me femble, a dit le marquis,. que naus
paurrians luí laiffer la liberté de mener
fa:
femme
·e11
Angleterre,. pendan
e
les premiers:
fix mais,
a
coi1dirian de nous la ramener- '
pour les íix autres. Ce changement _pourroir
faire prendre un nouveau cours
a
fos idées.
La vue continuelle' des memes lieux
&
des
tnemes perfonnes, eil: capable d'attriíl:er fon
creur. Tajoure que fon abf
ence ferviroic
a
fortifier ce pauvre comte de
Belvede.re.