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'iG1.

H

i

5 T

~

I

!l

:!

gne de votre bonté. Quel étra

nge myí

l:ete;

a repris la marquife , cet écrit

peut-.il

done

ren

ferme

r?

·

J

'éto.is

auill furpris qu'elle. Je n'avois pas

enc

ore ou

vert le pa

pier ,

&

j'

ai offert de le

Lre en

fa

préfence :

ma.is

elle a fouhaité de

ne le voir qu'avec le

marq

uis, s'il convenoit

qu'.ils en prilfent tous deux connoiífance.

- Elle eíl: forrie avec précipitation,

&

Camille

a paíTé dans l'aurre chambre, pour

y

attendre

les ordres de

fa

maírreíle. Je fois demeuré

feul. Voici l'étonnante piece que j'ai lue

(").

C<

o

vous) qui eres ce qu'il

y

a de plus

" cher

a

mon cceur ) pardon mille fois.....

., de quoi dira.i-je? Eíl:-ce du de!fein que j'ai

,, de

f~re

une grande aébon, fi j'en ai la

"force. L'exemple me vient de vous , qui

" et>es a mes yeux le plus grand des hommes.

·,, Mon devoir parle d'un coté; mon cceur .Y

"réfifre,

&

me tente d'une

foib

leífe. C'eíl:

.,,

toi, D

ieu puiíTí'lnt

!

que je

pr.ie

de me fou–

,,

ten.ir

dans ce grand comb

ar. N e perm

ets

~,

pas q

u'il renverfe ma ra.ifon,

comnie.il

l'a

,, déja fait ; cene foible raifon ,

qui ne co

m–

,, menee qu'a renalrre. O Dieu

!

fortifie·moi:

.., l'effort eíl: extreme; il efr digne de la per–

,, feétion a laquelle Clémentine a roujours

»

afpiré.

" Mon précepteur

!

mon &ere

!

mon ami

!

("') JI

n'eft pas befoin. de faire obferver qu'elle fe

reffent de

la

maladie de

Cl~mei¡.tine

,

qui eft cauíéc

par l'amour

&

la religion ; ni d'avertir

'JUC

c'eft

C\l

'!uoi

confifie

ici

l'arc de l'auteur,

·