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CffEV.
G.R.ANDISS~1'l'.
Is°í
t!e prendre les mouvements d'un efprit
li
pur, quoique hors de fon ailiette naturelle
,
¡:>our
l'
ordre de la Providence. J ufqu'
a-
pré–
fent
les tniens ont été putement pallifs :
l'honneur ne me permet plus de
ii1'
árre–
rer
a
.ces bornes. Cene aprt:s-midi, Mort–
úeur....
Cene ap_res-midi... (
d.'
une voix áltérée)
c¡uoi?
oette apres-midi....
Décidera de ma deíl:inée pár rápport
a
Clémentine.·
Vous me défefpérez
?
Si fes patenrs fone
déterminés en votre faveut, c'eíl: pár nécef-·
füé plut8t que par choix. Mais s'ils la laif–
fent ma'itre(Ie d elle-rnerne, je fois perclu
!
Suppofé qu'elle fe détermine 1)our moi;
c'eíl: une raifon, MonGeur, qui ne
l.aiífe
point de réplique. Mais les
circoníl:ance.~
ne
me parolrront pas
fon heureuies, . c'eíl:,
comme vous le dites;fans i11clination d1.ucoté
de la famille que j'obriens l'honneur d'.y erre
adnüs;
&
moins encore ,
fi
ma bonne for–
tune entraine le malheur d'un hornme tel
que vous.
Qu-oi
!
Chevalier, c'eíl: aujourd'bui que
vous devez voir Clémentine , pour t_ermi–
ner avec elle : Cette apres-midi
!
Et vous
devez changer de conduire? mettre de l'em–
preffement daos vos foins? la folliciter de fe
donner
a
vous ? Ma religion , l'honneur de
mon pays... Expliquons·nous _,
Mon.lieur.
n
faut convenir de quelque chofe. Je vou¡¡
e;
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