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,Je vuele mariage defonfils, s'efforcedecom::.
battre l'amour de mifs Byronpourfir Charles,
par des raifonnements pris de la nature de cette
pa.ffion,
&
des difficultls ou elle n'ignore pas
'}UC
fir Clzarles
ejl
engogl: les autres, de dif–
férenus perfonnes
,
&
par des motifs tout dijfl–
rents de l'intérlt gl néral. Miladí
G.•.
(aupa ...
ravant mifs C!zarlotte Grandij[on) ayant en.fin
9uitté le ckáteau de
Selby
,
lcrit
au.Oia
mifs
Byron, qu'elleya latffee avec E
milie,
&
lui
dit
mil/e c/zofes badines. Mifs Byron fui fait
une rlponfe plus grave, qui fs reffent de fa
fi–
tuation. Le plus grand éloge qu'on dofre ici
J
l'au(eiir, regarde les carac1eres, qui font lza–
bilement {outenus. Mais tout ltant acceJ!Óire
.-
la Jituation de fir Clzarles, on
y
revit:nt en.fin.
par une lettre au doc1eur Bar/et.
LX X VII,
Le
c!zr.valif;r GRAND
Is so N,
au .doc1eqf
BAR
LET.
A Boulogne, 8
&
19
Juiller.
JE
me fens le creur plus triíl:e qu'il ne l'a
jamais été. Quel
110111
donner au bonheur
. dont on ne peut jouir fans faire le malheur
d'autrui. Le comi:e de Belvedere, infprmé
de l'lleureux chañgemenr de Clémentine,
&
que fuiv;mt
~oute apparenc~
eUe fera le prlx