?>·u
e
H !:V.
G
R A N D 1
s s e
N.
2.
t
crus remarquer dans fes yeux ; comme for
fon
vi[age, qu'il n'étoit pas befoin
d_e
la
mettre
a
l'épreuve
du
coté de Marcelli,
ni
d'auc11n aul:re homme.
Je commem;ai ,
f
m: le rayon de lumier..e
queje m'ímaginois rirer
de
.ce
petirj~•cident
>
aluipa11lerdu comtedeBelvedere a.,,eeéloge;
ell.e 1ne .d.éclara nettem.ent qu'elle n'auroit
jamais
de
gofu:
pour lu(. Je
luí
repréfenrai.
que le comte paroi!fant pl<!Jire
a
toute
fa
famille, il me íembloit qu'elle
devo~t expli~
quer un peu fes objeltions.
En
vériré ,
ma
diere, ajoutai-je, vous n'avez pas fur ce
point tout le refpe.& que vous devez
a
l'in–
dulgenée de vos chers parent-s.
Elle trelfaillit; Ce reproche eíl: ,dur •
me
fépondit-elle, N'en conviendirez-vous
pns,
Madame?
.
· Penfez-y bien , réFJliquai-je ,
{i
vous le
croyez injuíle; apres une henre de ré.flexion,
,je le crniraí comme vous•
&
je vous en ferai
des exoufes,
·
·
·
Je crains en efliet , reprit-elle , d'avoir
q_uelque chofe
a
m.e •reprocher. J'aioks meil–
leurs
&
les plus cendres parents du monde ;
rnais
il
y
a des panicularités, des fecrets,
fr
Yous voulez, qu'on n'dl pas bien aife de
divulguer. Peut-erre aimeroit-on
m~eux
fe
les voir arracher par la force del';¡utoríré.
Votre a'¿el!l, ma chere, e
'une
aime
'-extr&memen.t généreufe, Si je ne craignois
íl'
érre indi[crette,.••
Tome V,
B