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o r
n.
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de
1'
air de froideur avec lequel je lui vis
rece~~
voir cecee nouvelle.
Mifs Byron fait les rlflexiom fuivantes fut
cet endroit,
ff
fur cdui de La premiere confl–
rence qui regardoit la recherche du comte -de
Belvedere.
Ne concluez...vom pas de ce détail,
diere
Lucie, comme des explicarions préliminaires
5ue j'ai rec;ues dans Ja bibliocheque, que
j
aurai bientot le plaifü de vous embra!Ter
taus
a
Northampton-Shire?
oui,
oui, n'en
doutez pas.
Mais
n'eíl:-il pas écrange, ma chere, qu'un
pere, une mere , des freres , auíli jaloux
qu'on nous re¡:iréfente les ltaliens, au1ll
fiers qu'on doit fuppofer une fumille de leur
rang, aient pn donner un acces
Ji
libre au
plus aimable de cous les hommes aupr
es deleur fille, dom il paro!t que l'age ne
paJ.Tepas dix-huit ou_dix-neuf ans? Lui fait
e ap–prendre la langue Angloife
!
N'adrnirez-vous
pas cette difcrétion dans un pere
&
une
mere?
&
le choifir pour difpofer cette pau–
vre fille en faveur de l'homme qu'ils foubai–
toient de lui faire époufer ; mais peut-etre
direz-vous que l'expédient de préter l'oreille,
dans un cabinet voi.fin'
a
tout ce qui pou–
voit
fe
paffer dans la premiere conférence,
étoit une rnéthode aílez sure pour s'affurer
de fon incégrité,
&
qu'apres cene épreuve,
leur prudence
é~oit
juftifiée pour
l'
avenir. D@