DU CHEV. GRANDIS S0N.
"lH
Vous avez de la tendreffe de creur. On peut:
fe
fiera votre prudence. Je vous fuivrai dans
quelques moments.
Excellent homme
!
Je voyois les larmes
qui·s'avan<;oient jufqu'au bord ele fes pau–
pieres.
Je
fois
defcendue.
J'
ai
rencontré mon mari
au bas des degrés : comment fe porte íir
Charles, Madame? O milord! tour eíl: perdu.
Mon frere, depuis le temps, eíl: le rnari de
fignora Clérnentine.
Un coup de fpudre ne l'auroit pas pfos
abattu. Le ciel nous en préferve ! e'eíl: tout
ce qu'il a pu répondi;e. Il eíl: devenu pale
- comme la mort. Je l'aime pour la tendre
affe&ion qu'il porte a mon Henriette. Les
lettres , lui ai-je dit en lni tordant la maim,
ne .parlent point encore de la célébration ;
ltnais tout le monde eíl: d'accord;
&
s'il n'efr
· pas marié, il le [ern bientot. Allez, Milord;
dites
a
Mad. Selby que je fouhaiterois de
l'entretenir dans le jardin
a
fleurs.
Il m'a dit que mifs .Byron étoit .allée
faire un tour dans le grand jardin avec
fa
couíine Nancy; que rn'ayant vu monter
chez le doél:eur, qui étoit
,{i
long-temps
_a
repai;o1tre, elle avoit eu befoin de prendr.e
.l'air; qu'il avoit laiífé dans la faHe
a
manger
M. Selby,
fo
femrne, Emilie
&
Lucie, pour
venir au devant de moi,
&
m'apprendre
·Cambien tour le monde étoit alarmé. En
vérité les !armes couloient le long de fes
~oues.
Je
Juiai
te.ndula ruain,ay,ec un regard