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dre au chevalie
r ce- que vous avez delfein
de
•
fai
re pour 11!1a
fcr.ur, ourre les donarions cde
-fes
de.uxgrand
-peres.
J' ai prévenu le marquis , qui fe ,:Jífpofoit
~
répondre. Je vous demahde en grace ,
, Monfieur , de ne pas prononcer un moda–
.delfus. Tous vos projets de cene narure peu–
.ven
r,
s'exécurer annuellememt, comrne la
•ccnduite que vous me verrez teniir avec votre
iill~,
pourra m'en.fair€ jL1gerdigne;Ne con–
nois-je pas la
géné~oíité
de toure cette.nqhle
famille? Je veux dépéndre de vous. J'.ai alfez
de·bien pour CléQilentine
&
pour moi, ou
je connois mal
fen
cceur. Dans rout ce que
-vous me dires , ne coníidérez qhle ·votre
propre farisfaébon ,
&
de grace , épargnez–
·moi les dérails.
Que dira ma fceur Sforce? s'eíl: écrié
-.Je, ,comte. Tout oppofée qu'elle eíl:
a
cene
al·, ha1111:e , pourra-r-elle refufer fon admiration
a
tant de noblelfe ?
.
.
Quoi
!
m 'a dit le prélat, c'efr férieufe–
' ment, Chevalier, que vous ne voulez aucun
dét~il?
Tres-férieufement.,
&
je le demande en
grace.
Faifons tout ce qu'il déíire, a-t-il repris.
Monfieur ( en me preífañt la main), mon
frere, mon ami , quel nom dois-je vous
clonner ? nows cédoas
a
toutes vos volontés.
Mais notre reconnoilfance aura fon tour.
Elle s'acq_uittera; n'en doucez poinr_.
/..v~c
•quitlle ar<lleur c;e .devoir fera remph
!
Ma1s