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1

s

T

o r

R.

E

plus obligeam,

&

je dois le meme éloge

a

leurs maris. Je ne doure point qu'elles n'en–

ttentvolontiers dans cette idée. Le remps que

vous jugez le plus agréable pour leur viúte ,

efr funs doute vers la fin de la premiere

année. -Outre la commodité de pouvoir s'y

préparer, elles amront alors le double avan–

tage d'avoirr commencé une heureufe amitié

ávec Clémentine,

&

de pouvoir l'accom–

pagner dans fon voyage en Angleterre.

Cette ouverturen'a re<_ru que des applau–

diífements. J'ai ajouté que l'année d"ap.rts_je

n:érois pas fans efpérance de voir quelqu'un

de

l'illuíl:re

fainille

difpofé

a

fe mettr.e d.e la

partie ' pour ne lai.ITer rien manquer

a

la

fatisfaél:ion d'une filie

íi

chere.

Qui fait,

rn'a

répondu la marquife,

íi

le

n1arqtús

&

m.oi

nous ne ferons pas du nom-

-

bre?

Il

nous [era bien difficile de nous féparer

de notre chere fille. Cependant ces mers..•

Le prélat, nous interrompant, a dit qu'il

falloit remettre ce foin

a

l'

avenir '

&

lé faire

dépendre des circonftances; mais qu'il étoit

queftion

a

préfent du bien de

fa

freur.

Il

efr confidérable,

a

dit le comre ,

&

.chacun de·nous_p!iendra plaiíi.r al'augmenter.

· Si le ciel vous donnoit plus d'un fils,

a

repris le préla.t , comme votre bien d'Angle–

terre foffi.roit pour

l'un,

&

que celui

de

nos deux grand-peres ' qui efr légué

a

ma

Íreur, feroit un 2mple partage pour l'aurre,

n

ous

efpérons quel'undes deux feroitconfié

a"

n.os

foins.