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14
H
1
s
T
o r
R.
E
plus obligeam,
&
je dois le meme éloge
a
leurs maris. Je ne doure point qu'elles n'en–
ttentvolontiers dans cette idée. Le remps que
vous jugez le plus agréable pour leur viúte ,
efr funs doute vers la fin de la premiere
année. -Outre la commodité de pouvoir s'y
préparer, elles amront alors le double avan–
tage d'avoirr commencé une heureufe amitié
ávec Clémentine,
&
de pouvoir l'accom–
pagner dans fon voyage en Angleterre.
Cette ouverturen'a re<_ru que des applau–
diífements. J'ai ajouté que l'année d"ap.rts_je
n:érois pas fans efpérance de voir quelqu'un
de
l'illuíl:re
fainille
difpofé
a
fe mettr.e d.e la
partie ' pour ne lai.ITer rien manquer
a
la
fatisfaél:ion d'une filie
íi
chere.
Qui fait,
rn'arépondu la marquife,
íi
le
n1arqtús
&
m.oinous ne ferons pas du nom-
-
bre?
Il
nous [era bien difficile de nous féparer
de notre chere fille. Cependant ces mers..•
Le prélat, nous interrompant, a dit qu'il
falloit remettre ce foin
a
l'
avenir '
&
lé faire
dépendre des circonftances; mais qu'il étoit
queftion
a
préfent du bien de
fa
freur.
Il
efr confidérable,
a
dit le comre ,
&
.chacun de·nous_p!iendra plaiíi.r al'augmenter.
· Si le ciel vous donnoit plus d'un fils,
a
repris le préla.t , comme votre bien d'Angle–
terre foffi.roit pour
l'un,
&
que celui
de
nos deux grand-peres ' qui efr légué
a
ma
Íreur, feroit un 2mple partage pour l'aurre,
n
ousefpérons quel'undes deux feroitconfié
a"
n.osfoins.