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2.2.
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l!
voi~
fa
maitreJfe ,
j'
aurois beaucoup
de
con::
6ance
a
fa
díforétion, Cop1me vous en avez
auffi pour Je pert;, m'a dít
le
pi:élat, nous
nous flattons qu'en Angleterre v'ous pe feriez
p¡¡.s difficulté de le confolter (ur les fautes
dont les domeftiques
de
ma fo:ur
pourroi~nt
ene
accufés.
~'~ll:
a
quoi je ne puls m'eagager. Je dois
~rt·e
le juge des mo;:urs
&
de la q:mduire de
toµs
mt:s
qoniefüques. Leur
indépendanc~
pourroit faíre naltre , entre leur malrreífe
- &;
moi •
des
difficultés
qui
p'arnveroient
·i<1111ais aurremenr.
C'ell:
amoiqude pouvoir.
@ !es congédiei
1
pour une fume grave, doit
,appartenir.
J(}
ne
fui~
pas d'un natuliel
~apri~
cieex. Ma
charir~
ne
fo
borne point
a
ceu~
qui ont
la
meme rdigion e¡ue moi. Dans un
P!IYS
éloigné )
je
faís
ce
qu'
Ofl
doit
a
des
ép:angers fur lefquels on
~
qudque pouvoir.
Peur-erre
fo
trouveront-ils'.i:nie.,uis:
~le
celui
qµ©
j'
aurai fur eux. Mais les
-401n~tl:iques
de ·
ma femme) fUt-elle reine du monde tmtier,
dpivent errl! auffi les miens,
Quel inalheUF , a dit
l~
pere Marefcotti
~
qµe nous n'ayons pas tous µne menie foi
!
Mais , Monfieu¡;, vom¡ permettrez du rppíns
que !ilans
l'
occafión je prynne qpelqu<;
pai:t .
ia.'µx
affaires
de
cett<;i natµfe.
·
Qui , mon _eere ;
;3G
je me s:;onduirai vo–
lontiers .l?ªr vos avis. Mais je n'acco11derois
p~s
au pJus grand fáj¡:it du cíel , ni au
plusfag~
pe:¡
rous les honimes,
l'e.mpir~
fur
m.oi~ians
H1íl
famille,