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le pere Marefcotti, font emrés auffiteit;

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contentant de me faluer , ils ont pris•

leur· place.

.

Ma chere , a dit le marquis, en s'adref-

fant

a

fa

femme.

,

A

pres un moment d'héíitation, nous n'ef·

pérons plus, a-t-elle commencé , le parfait

rétabli.ílement de ma filie, que de•.••..• elle

s'

eíl: arrétée.

Qne de notre complaifance pour tous

les

d'éfirs de

fon

_cceur, a continué le prélat.

Eh

bien , continuez , lui a dit la

.mar–

<iuife.

. Il

[eroit inutile , a-t-il repris , de pre.ffer

le chevalier fur un point rebattu que nous

avons

fort

a

cceur.

Je. me fuis bai!Té , en confirmant ce qu'il

dífoit par

fon

filence.

.

Que! malheur

!

a-t-il répliqué.

Le plus grand des malhel:lrs , dit le

comre.

Alors le marquis m'a demandé par quelle

garantie je pouvois les aílurer que leur fille

ne feroit pas perve\:tie.

J'ai répondu que le pere Marefrotti pref-

criroit les condiríons.

·

, Ma confcience, a dit le pere, ne me per·

met pas de confe1:itir

a

ce mariage : cepen–

dant le méuiire..

&

les généreux fervices

du

chevalier m'otent le pouvoir de m'y oppo–

fer.

Je demal}tle qu'il me foit permis de

me

taíre:

Ma fituation eíl: la meme, a dit le prélat:

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