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nu Cacv.

G:tt'ANDis>SoN.

11?

ge1nem

que

je

lui demande ,

fa

confcience

feroit peut'-'etre embarraífée ; & ·je crois de–

v

oir ce

tte

précaution atvrepos

;.:le

rrta patrie.

Y.os

Angr0rs',.Chevalfer,

m'a

diolecomte

>

fe

plai

gnenn beammup des perfécurions de

norre égli:[e: cependant,

~

quelle contrainte

'les catholiques ne fonr-ils pas réduirs

en

Angleterre

?

J'aui·ois mille chofes

a

dil'e .for ce point.

Mais

il

me

fuffir

de .répondre pour moi–

meme

&

pout 'ma

propre conduire.

A Uégard· r- de

s '<d©meíl

:iques

de ma

· filie>·

je crois•pou!V'<!>Í4:

dpár.er

, a dit la marquife

>

que le foin en·

Cera con

fié au pere Mare[–

cotti ,

q1ü

en formera 1Une perite églife au–

tour d'elle, pour }a, foutenir dans . un pays-·

ou

fac:tel'igiorn ne laifif'er.a point ·d:etre expo–

[ée:-;l

qi;1dque -

d~nge11.

Ses femmes, ai-je

répomdu,

&

!(~s don1r~ftiq.ues

paniculiers

>

fer.©.nt roujm1ts de•fo111

d10ix:Si.lle~r

c0111duire

eít -raifoPlnáhle , ,ils: trouveronl! de ra:vantage ,

actne regarder aulli comme leur ma?tre..Sils

fe condu

i[ent ma

l ,

il

eíl: jl.!líl:e que je puiífe

les croire

dans.ma

·dépandance,

co~nme

dans

ceHe de l

eur ma1r

relTe..

Je

ne cLJis pas erre

fonmis

a

leurs,cap~ic~s.

S'ils. fe

croy'?~ent

in–

dépoodaJJ-'t-" de

m01•;

Je fero1s défobe1,peut- ,

erre infulré'

&

m0·n ·reífe111timent pour leur

infoiei11ce, palferoir peut-erre pour haine de

laur rehgion.

Cet arride ayant éré réglé

fous une

bonne-forme, j'ai-aj.oat-é qúe

fi

Cami'. l~

foi-

Tome VI.

F