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H
r s
T
o r
n.
!
Que ne donnerois-je pas , cher doél:cur
Barlet, pour etre affuré
<lUe
la plus excel–
lente fille d'Angleterre
f
era heureufe avec
le comte de
D....
le
f
eul de tous fes admi–
rateurs , que je
crois
digne d'un
fi
précieux
tréfor
?
Si mifs Byron avoit
a
fe
plaindre
de
fon
fort ,
&
par ma faute, le fouvenir
c:le toutes mes précautions ne feroir
pas
capa–
ble d'adoucir
l'
amertume de mon creur.Mais.
apres tout, d'ou me viennem tous ces foup–
~ons
de tendreífe?
&
ne dois-íe
pas
les pren–
_-Ore poµr des mouvements d'une vaine pré–
fomption ? Cependant,
fi
le
ciel
ordonnc
qut'
ma deftinée foit unie
a
celle de Clémen·
tine, je ferois extremement fatisfait de pou–
voir apprendre, avant qu'elle ait
re~u
mes–
vaux, que mifs Byron, par compfaifance
pour les follicirations de fes amis, ait accordé
la
main an cornee de D•.••
11
fe
préfente llne occaúon pour fairc
partir mes trois lettres
a
la fois. Adieu
>
tres-cher doél:eur. Dans nos plus grands
fujets de plaiGr
~
les foupirs du cmur iaou9.
rap
pelleot nos foibleífes
!
n
n'eft pas donné
,a
l_a
nato.red'
erre
plus parfaite. Adieu
>
cher
ami.
·
Suite de la lcttre áe miLuli
G....
o'lr les. trrlb
prlcldentcs ltfJ'ient
renfermleJ~
'
Hé bien, chere fa=ur, que dít€s-vous
ele
ces
tro.islecrres?.
Je
fouhaírerois:
de
rn'érrc
trouvée avec vous, Iorfqµe vous
les
ave:z lues
.a