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130

H

r s

T

o r

n.

!

Que ne donnerois-je pas , cher doél:cur

Barlet, pour etre affuré

<lUe

la plus excel–

lente fille d'Angleterre

f

era heureufe avec

le comte de

D....

le

f

eul de tous fes admi–

rateurs , que je

crois

digne d'un

fi

précieux

tréfor

?

Si mifs Byron avoit

a

fe

plaindre

de

fon

fort ,

&

par ma faute, le fouvenir

c:le toutes mes précautions ne feroir

pas

capa–

ble d'adoucir

l'

amertume de mon creur.Mais.

apres tout, d'ou me viennem tous ces foup–

~ons

de tendreífe?

&

ne dois-íe

pas

les pren–

_-Ore poµr des mouvements d'une vaine pré–

fomption ? Cependant,

fi

le

ciel

ordonnc

qut'

ma deftinée foit unie

a

celle de Clémen·

tine, je ferois extremement fatisfait de pou–

voir apprendre, avant qu'elle ait

re~u

mes–

vaux, que mifs Byron, par compfaifance

pour les follicirations de fes amis, ait accordé

la

main an cornee de D•.••

11

fe

préfente llne occaúon pour fairc

partir mes trois lettres

a

la fois. Adieu

>

tres-cher doél:eur. Dans nos plus grands

fujets de plaiGr

~

les foupirs du cmur iaou9.

rap

pelleot n

os foibleífes

!

n

n'eft pas donné

,a

l_a

nato.re

d'

erre

plus parfaite. Adieu

>

cher

ami.

·

Suite de la lcttre áe miLuli

G....

o'lr les. trrlb

prlcldentcs ltfJ'ient

renfermleJ~

'

Hé bie

n, chere fa=ur, que dít€s-vous

ele

ces

tro.is

lecrres?.

Je

fouhaírerois:

de

rn'érrc

trouvée avec vous, Iorfqµe vous

les

ave:z lues

.a