!)U
CH~V.
GitAN.DISSGl!!f.
3,
adorations. Elle peinr
l'
état
ou
elle a rerrouvé
fa
fumille,
&
tour ce qu'elle croit capable
de plaire aux amis qu'elle a quiréés. Leurs
réponfes roulent for ce qui fe paífe, dans fon
abfence,
a
Londres
&
parmi eux. Celles de
milstdi font d'une longueur étonna11te,
&
font admirer la féconde habileté de
r
auteur
a
préfenter les memes caraél:eres fous mille
faces différentes.
Enfin,
une lettre de miladi
G.... ,
en date du
6
de mai, donne
a
mifs
Byron les premieres nouvelles qu'on ait
recues de
.Gr
Charles Grandi1fon depuis
fon
départ.
oll==~~~~===>
LETTRE LXVII.
Miladi
G.•• ,, . ,
J
mifs BY
RON,
A Londres , Samedi ,
6
Mai.
A.uJoURD'Hur,
ma chere, tous les antres
fujets vont difp::iroirre. Nous avons
re~u
des informations qui ne font pas de la main
de mon frere , mais qui nous donnent de
fes nouvelles. Un ami de M.
L~wther
eíl:
venu ici avec une lettre de ce
chirur~ien,
par laquelle nous apprenons que fir Charles
eíl: aél:uellemenr
a
Paris. M. Belcher , qui
étoit avec nous, lorfque
l'
ami de M. Lowther
eft: arrivé,
l'
a prié de nous laiífer
fa
lercre,
parce qu'elle contiene une aventure
fort