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que leur de!fein étoit de
1'
a!faffiner:
&
mon–
trant une petite hauteur du coré de Monr-.
{Ilartre , il ajouta que c'étoit derriere ce
lie~
qu'ils exécutoient apparemment leur fan–
glante entreprife.
Il
s étoit adreífé
a
quelques
autres pa!fants,qui n'a"oient pas été fort tou–
chés de
fa
peine ,
&.
qui n'avoi<: nt fait que
hacerleur marche. Mon frere lui demanda le
nom de fon ma1tre,
&
ne fut pas peu forpris
en apprenant que c'étoit le chevalier Pollex–
fen , accompagné de M. Merceda. Le che–
min de Saint-Denis
a
Paris eíl: planté d'arbres
des deux cotés ; mais la campagne étant
<;l~couverte, il n'y avoit que la hauteur qui put
empecher,
a
une grande diíl:ance, d'apper–
cevoir une chaife
&tant d'hommes
a
cheval.
Le grand chemin
e.íl: bordé auili d'un foífé ;
mais avec des ro
utes par intervalles , poll¡r'
le palfage des voitu
res dans les terres. Sir
Charles ordonna au
po.íl:illon de prendre
pa.~
une qes ouverture
s, endifant qu'iJ ne·
fe:
pardmmeroit pas d'avoir laiffé périr
íir
Har–
f;tave
&
fon ami fans avoir fait fes efforts
poudes fauver.
Il
avoit trois de
{es
gens avec tui , fans
compter le valet de M. Lowcher.
I1
fic
rnec–
tre pied
a
terre au demier ;
&
montant for
fon
cheval,
il
pria M. Lowther de demeurer
tranquille dans la chaife, randis qu'avec fes
trois hommes il s'avanc¡a au grand galop vers
la hauteur. Bientot fes oreilles furenr frap–
pées de cris
lam~nrables,
&
lorfqu'il eut dé·
~quvc;rc
les
cavaliei:s.,.
il
en
vit
qua~(e. a
pied,._