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1>U CHEV. Gn.ANDIS!!ON. _-

3;

me femble que jufqu'a préfent

011

n'avoir

pas

regardé la douc.eur comme un défaut

dans une femme.

Milord.

Juíl:e ciel

!

De

la

douceur

!.

Juíl:e

ciel

!

Mil11di.

Soyez juíl:e , Henriette ;

il

efr

quefüon de prononcer qui a tort..Milord

G..

~

me préfente un vifage que je ne lui ai jamais:

vu avant

la

cérémpnie.

Il

m'a. trompée par

wnféquenr.

Je

lai montrn

le

vifage que j'ai:

toujours eu,

&

je le traite.a

peu

pres comme

f

ai

roujours fait. Que peut-il dire ou je

ne·

luí montre une preuve qu'il efr le plus ingrat

des hommes dans les nouveaux airs qu'il fe

donne? Des..airs quJj_l n'auroit pas eu la har,.

dieífe de prendre

il

y

a huit jours. Parlez ,,

Henriette ; de quel coté efr le ton , entre·

milord

&

moi?

Mílo·rd.

Vous voyez ,..

mifs

Byron. Qtiel–

moyen d'enrrer

en.

raifonnement a'O'ec

un-!

femme qui rarnen.e tout

a

la plaifanterie

Mifs

Byr.

Hé bie11, Milord,

fui

tes comme:

elle. Ce qui n'admet poii1t de raifonnement,..

vaut-il

la

peine d(f s'·en rachei:?

Milord.

Mifs

Byron

eíl:

votre

amie,

Ma~

dame; je lui aband·o1m

e h déc

iíion.

M.iladi.

Vous foriez

mie.ux

de me

f

ab.1n–

donner

_a

moi-meme.

Mifl By

r.

Dites oui

~

Milord:.

Milo.rd

.

Eh

bien, Madame

!

q_uel'efl: done:

v

otre déc

ret

?

Milad

i,

J'aimerois mieux que rnifs

Byron

pro.u.on

<¡at.. Je ne voudroís p,as.

que

mondé:–

B

5: