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1'U

CinV.

'Gl\

.AND.is

90N. 13'

perdu

toute efperance

de la voi

r

,

il

íe

mit

en

chemin Pº!-11" F:lorence, ou il ne s'arreta

·que

pour donner ordre

a

fon banquier de

hire préparerrous les cornptes de lafucceilion

de

M.

Jervins.

11

avoit

a

Sienne,

a

Aucone

> •

&

particuliérement

a

Rome, de chers amis

qu'il

vouloit embralferavantquede retourner

dans

fa.

patrie; mais en ayant auili

a

Naples,

,c'é1!oiu un motif de plus pour eommencer

·par l'engagerp.ent qu'.il aveit pris avec le gé–

néral:

11

arriv¡i dans.cette ville·, vers le.temps

qu'il s'étoit propofé.

.

LE

GÉNÉRAL,

raconte-t-il dans

l'

extrait de

fes lemes, me recut avec plus de polire!Te

que d'affeébon.

A

pres les premieres civilirés:

vous etes, me _dir-il) le plus

heur~ux

des

·hommes; c:eíl: en bravant "les

da11g~rs,

que

vous avez trnuvé l'art ·de· vous en garantir.

Je vous confe(fe que j'ai eu beaucciup de vio–

lence

a

me faire) pour ne pas vous rendre

une viíite férieufe

a

Boulogne.

J'y

é11ois ré–

folu,

avant que vous m'eui1iez fait efpérer

ici la vc>tre.

.

J'aurois été fres-flché, lui répondis-je, de

voir le frere ele Clémentine pour quelque

Taifon qui ne me

l'

eut

J'la5

fai

t regarder comme

{on frere. Mais, avant que

j'

ajoute un mor,

permettez que je m'informe de

fa

Canté. Com–

ment

fe

porte la plus excellenre perfonne de

fon fexe?

Vous l'ignoréz done?

Je l'igaore, Moníieur, rnais ce n'ell; pas

fa1:1ue de foins.·

J'

ai dépeohé rrois expres

>

d0nt

je

n'ai

t•e~u

aucw1e fatisfaébon.