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conclufton. CeJ?endant le chevalíer s'écant
approché de Jeronimo,
p~ur
lui renouveller
fes embralfemenrs, le général fe leve, s'avance
'vers hti,
&
lui dir d'une voix baífe: Vous
ne fauriez. penfer, Monúeur, que
j'
aie bien
pris une parrie de vos difcours,
&
je fuppofe
meme que vous ne les avez pas tenús dans
cene intention. Je n'ai qu'une quefüon
a
vous
faire : quel jour partez-vous
? .
C'efl: le chevalier qui rentre
íci
dans
ía
narration. Permettez, Monfieur, répondis-je,
du ton naturel de ma voix , que je vous
demande auili quand vous vous propofez
d~
.rerourner
a
Naples?
Pourq,uoi cerre que.(l-íon?
Je vous l'apprendrai de bonne
foj.
Vow
m'avez fait l'honneur, Monfieur, dans les
commencements de narre connoiífance, de
m'inviter
a
faire le vqyage de Naples,
&
je m'y fuis engagé. Sí
votr~ ~épart
n'eíl: pa,s
différé trop long-temps, mon deffeín eíl: non–
feulemenr de vous
y
aller faire ma cour,
rnais de vous demander un logemeur dans
_votre hotel meme;
&
ne croyant point avoir
mériré que vous me refuftez cette gra9e, je
'me flatte
cfy
erre rec¡:u avec autant de bonté
que vous m en avez marqué par l'inviration.
Je compte de quitter demain Boulogne.
O mon frere
!
lui dit l'éveque de Nocera,
ne vous rendez-vous pas
a
de
fi
généreux
fentíments?
Éres-vous íincere? reprít le fier général.
·
Je le fuis, Moníieur. J'ai, dans ,les difféi-