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DU CHEV. GR ANDI

s s

ON.

97

rablettes de

fa

poche ). Le voici. Regardez–

vous de l'autre coté, lorfque je vous l'or–

donne

?

Elle

fe

mita lire: ,, Je confens,

" Monfieur , du fond de mon creur , ( c'eíl:

,, rres-féríeufement

~

comme vous voyez )

" que vous n'ayez que de la haine , du mé–

., pris, del'horreur pour la malheureu(e Clé–

,, mentine; mais je vous conjure, pour l'inré–

,. ret de votre ame immortelle , de vous atta–

" cher a la véritable églife ". Hé bien, Mon–

fieur , que me répondez-vous? (en fuivant ,

de fon charmantvífage, le mien que je tenois

encore tourné ; car je ne me fentois pas la

force de la regarder

).

Dites, Moníieur , que

vous

y

j:;onfentez. Je

vous

ai tou;ours cru le

c-<rur honnete

&..

feníi

ble.

Pites qu'il fe rend

.a

la

vérité. Et ce n'eíl:

p.is

pour moi que je

vous en fol)..icite. Je vous ai déclaré que je

prends le méprís pour mon parrage.

Il

ne

f

era pas dit que vou1> vous foyez rendu am'

iníl:ances d'une femme.N

on, Moníieu

r;votre

feule conícíence en aura l'honneur.Je nevous

cacheraí point

ce

que je médite pour moi–

meme. Je denieurai daps une paixprofonde;

( elle

(e

leva íci, avec un air de dignité, que

l'efpdt de religion femhloit encore

augmen~

ter),

&

lorfque l'ange de la mort par-Oitra,

je lµí tendrai

la

main. Approche, lui dirai-je,

o

roi

!

min~íl:re

de

la

paix

!

Je te

[

uis au

rivage

ou

je bn1]e d'arriver;

&

j'y vais retenir une

place pour l'homme

a

qui je ne la fouhaite

pas

de long-temps,

mais

auprt:s duque!

ie

veux erre éternellement affi!e.

Címe e{pé..

1'ome

r,

E