DU
Ct!EV.
GR~N1>ISSON.
"
<legré- de
l.t
vie qu'on
fe
fuprofe
,
a-t-on
d'autre intéret que de favoir
s
y renfermer
humblemenr,
&
d'en remplir les devoirs
?'
Mais qui peut fouhaiter
,
par de vaines
con~
fidérations d'an1our propre, de re!lerrer le
pouvoir d'un homme
Ú
généreux
?
Son
honheur doit cro!tre
a
cha.que occaíion
qu'il aura d'exercer
fa
honré.
Non,
chere •
Lucie
,
je
ne
vois aucw1e raifon de nous
flatter.
Sir Charles
fe
réjouit d'un billet qu'il vient
de recevoir, par lequel íir Hargrave remet,
l
la femaine prochaine, la partie de dmer
dans
fa
maifon de la
forer
de Windfor.
LE T
T RE LV.
Mifs
B
Y R
O
N
,
a
Mifs
S
li
L B
Y~
LE
temps ne m'ayant pas permis d'achever
la lettre ,
il
me reíl:e de la mat1ere pour en
faire une feconde.
J'ai laiífé
Gr
Charles avec le doél:eur Barler.
Ilsvodoientmeretenir plus long-temps; mais
j'aifait réHexion qu'ilpouvoit paro'lrr
eétrange
aux da.mes de me trouver avec luí
da.nsle
cabinet du doél:eur. Milord &lesde
ux fo:urs
s'étoient déja ratfemblés. Henriette, m'a dit
mi{s Grandi!Ton en me voy::mt arriver, nous
fornme~
réfolues de faire aujomd'hui rous
.nos efforts pour pénétrer dans le ca:ur de
E
z