~02.
H
I
5 T
o
1 ll
J!'.
MiladiL....
Vousn'etes pascérémonieufe,
Charlotre.
( Sérieufement, Lucie, elle m'a fait trem·
bler ).
Mifs Grand.
Pourquoi des
cérémoni~
enr? e de
G
proches parenrs
!
Sir Ch.
Ecoutons Charlotte.
111ij's Grand.
Je voudrois done vous de–
mander, MonGeur, fi votre deffeio n'eíl pas
de vous marier un jour?
Sir
Ch.
Oui,Charlone, c'eíl:riÍóndefTein.
Je ne me croirai point heureu«, fije n'olr
tiens quelque jou,rs la main d'une
femme
aim<?ble-.
(Je c;ains bien,
Lu~ie,
d'avoir marqué
viíiblement du rrouble. Je ne favois.... )
Mifs
Grand.
Forr bien, Montiew· •..•
Er de grace encare, n'avez-vous i:as vu,
foit en A11_gleterre, foit ailleurs , la femme
que vous fouhaireriez de pouvoir nommer
la votre? Soyez fans crainte, mon frere.
Vous m'avertirez lorfque je deviendrai im–
pertinente.
Sir Ck.
Vous ne fauriez
l'
erre, Charlorte.
Si
vous voulez favoir quelque chofe denioi,
la plus agré1ble voie que vous puiffiez pren–
dre, eíl: d'aller droit au bur.
Mifi.
Grand.
Hé bien , fije ne puis etre
impertinente, fi
~ous
aimez qµ'on aille au
burpar le plus court chemin,&fi vous
av~
de
1
inclinarion
pour
le mariage, pourquo1,
s'il vous plair , vous eres-vous refu(é aux
propoíitions de milord
w....
en faveur
d.e