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DU

~HEV. ~RANDissoN. Je~

tniladi

Francoife

N ....

de miladi Anne

S....

&

de je ne'fais combien d'autres?

Sir Clz.

Les amis de la p[emiere de ces deu,x

-dames ont mangué de généroiiré avec moli

pere. Toure

fa

famille a trop fait valoir

1~

crédit

&

le rirre du fien. Je n'ai pas voulu

me metrte dans lá dépendance d'un hommc

public. Mon bonheur, auránr qu'il

.eíl:

poffi–

l?le, fera fixé dalis ma fphére. J'ai des paf-.

fio1}s vives : je ne fuis pás fans ambirion.

Si j'avois lkhé les relies

a

laderniere, rout

jem1e que je fois, rila tranquillité dépendroÍt

a

préfent des capricesd'aurrui.Cerre réponfe,

Charlorre , vous fatisfait-dle pour miladi

Francoife?

.

Mifs Grand.

Affez ;

&

d'autant plus qu'il

y

a une jeune perfonne que

j'

aurois préférée

a

miladi Fram;oife.

( J'ai penfé, ma chere, que je ne devois

t>aS Ctre pré(ente

a

cette

i::onverfatÍOl~

: mi,–

}ord L.... m a

reg~:dé.

Milord

¡.,....

n auro1t

pas du me regarder. Les clames

n~

l'om

pa~

"fait

).

'

Sir C!z.

Et

!

qui ef1:-elle

J

Mífs Grand.

Miladi Anne

S....

vous

lct

favez. Puis-je demánder , Monfieur , pour–

quoi cene ouverrure

n'

a

pas

eu de focces

?

Sir Ch.

Miladi Anne eíl: une perfonne.

<;le

mérire ,je n'en doure point; mais

fo

fortune

auroit été man principal motif, fije lui avois

adreífé mes foins ;

&

jamais cene Ceule vue

ne m'a concluir deux fois chez une femme.

Mifs Grant/.

Ainfi~

Monfieur, je

fuppof~

E

ii