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q'u'elles ne font point en notre pouvoir,
&
lorfque nous fommes
períua~és
qn'eijes dé–
rendent de
!10US.
Maisje ne vois pas la !noindreraifon d'eG
p~rer
que ce
qui
vous .Ratte¡:oit le plus arrive
jaJ.11ais. Je µe puis !=!u'y faire.
Cette p.etite
flatteuf~
d'Emilie me difo!t
qu'elle avoit remarqué,
~ians
fes yeux
&
~fans
fé's
~naníeres,
tous )es Ggnes d'un vif
attachement pour moi
!
Mais je n'y
voi~
~mcun
fonde].11ent. Il me paro!t certain que
fes
aífeél:iops font engagées. Qu'il foit heu–
l'eux,quels qµepuilfent
~tre
fes engagerpents!
J>endant fon :i.bfen\:e , ern;:ouragée, comme
je l'étois par fes freurs
&
par mi!ord...•
je
¡)enfois alfez avantageufement demoi-meme:
mais
a
préfe11rqueje l'ai devant les yeux, je
lui vois ranrde qualités brillantes,
quemo~
lmmi1ité l'emporte fur nion ambirion.
' Mon ambition, ai-je dit, Oui, ma chere.
N'eft-ce pas le propre de cetre paffion, que
notlS avons la fol
ie d'appeller iloble >de
!10US
faire exalter
fon
obj.et, randis qu'elle nous
pon~ ~
nous rav
aler nous-me111es? la forrune
ine mangue du
~noins
!
A
la
,-ériré ,
j'
enrends
aire
a
fir
CharJes
qu~
ce
n'efl:
pas le point
~apital
pour lui ,
&
qu'il efl: aíiez riche de
fo~1
prop¡:e bien
1
Il ne faut pas douter que
les devoirs n'augmentent avec les richeíles.
bn peut ttre auffi bon, par conféguent, avec
pn bien
médiocr~
qu'avec ure fortune plu&
~onGdérable
¡
&
la bonté
n'eíl;-ell~
p<lS
µne
f .ªJ:ti¡;
~(f~1}qyJi7 ~4
bophe\a· ;
i;:>ri;1s
ciuelc¡\lt