DU
CJ-JE
RANDI9SON.
Id-9
Mais n'eíl:-il p
en furprenant qu'il n'ait"
pu dire
ft
la dame efl: étrangere ou non
?
Doéleur Barler, vous etes dans
1'
erreur.
Sir
Charles n'eíl: pas auffi réfervé que vous le
penfez. Et vous, Emilie, chere perite flat-·
reufe
!
comment avez-vous pu me dire que
vous avez obfervé fes yeux ,
&
que vous
les avez toujours vu tendrement inclinés
vers moi
!
Oui, peut-etre s'occupoit-iL alors
a
faire, ent
re les traits defon
étranger~
les
miens, des
comparaifoJ.lsquin'étoienf'f>0in.t
a
mon ava
ntage.Mais cetc'e Olivia, chere·Lucie.11 faut que
je me procure un peu plus d'infonnarion.
Rien , dit-il,
a
défirer d'elle. Mal'heureufe
femme
!
il
me [emble que je fuis portée
a
la
plaindre.
Pa!fons , palfons
a
la fuite de mon f
ujer~
Je voudroís lui trouver quelque défaut: c'eíl:
une chofe cruelle de fe voir comme forcée
de fe racher contre un homme dans lequel
on ne voit rien
a
blamer. Cependant vous
l'
allez voir de mauvaife humeur. N'eres-vous
pas impaciente, Lucie, de favoir comment
fir
Charles s'y prend, lorfqu'il eíl: de mau–
vaife humeur
?
A
préfent, Charlotte, a-r-il repris
(
comme
s'il eut pleinement répondu aux queíl:ions de
fa
fa:ur ; oh
!
ces hommes ,. Lucie
! ) ,
per–
merrez que je
vous interroge
a
mon tour. Je
rec;us hier une
vifi.tede milord G.... Quelles
font
vos vues,
ma chere
~par
ra.eport alui?
...