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CHEV.

CRANntssoN.

u•

tions en

c0mpagni~

, fans excepter <>elle de

-Íes plus chers amis.

Mifs

Grand.

Je

puis

répondre ici

a

toute

quelbon qui regardera milord G....

Sir Cit.

Votre deffein n'eíl: done pas de re-

jeter fes oftres

?

-

Mifs Grand.

Je

ne

vois pas que cette con.–

féquence foit plus ;ufte que l'aurre.

Sir Cit.

Elle eíl: juíl:e, du moins"

íi

f'en–

tends quelque chofe au langage des femmes.

Mifs Grand.

J'avois cru mon frere trop

poli> pour faire des réflexions injuüeufes

a

~i1on

iexe.

_§ir

Ch.

Quoi

!

c'eíl: une injure de dire

que j'enrends quelque chofe au langage des

femmes.

Mifs

Grand.

C'en eíl: une, dans le fens que

vous

l'

avez dir.

Sir

Cñ.

Hé bien, employez done un

lan~

gage

qui

ne vous expoie pas

a

ces inrerpre–

tations.

Mifs Grand.

Je craíns ,. cheI" frere , qtte

vous ne foyez mécontent du m.ien. Je répon–

drai plus direél:emenr.

Sir

Ch.

C'efr ce que je défire , chere

Charlorte.

J'

a

i promis

a

milord G ..•. de lui

prccurer une

répon.fe

.

Mifs Grand

. La veut

-il concife,

Moníieur~

.}:fl:-ce oui ou non qu'il demande?

Ch.

Prenez un peu de confiance

a

rnoi;

Charlorre. Vous

le

pouvez, malgré toures vos

délicareffes.

?.

Mifs Grand.

Me refufez-vous vorre confeil

•.