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·faudroit rien lui contefl:er fur les inÍeél:es
&
les papillons (-1<).
·
Sir Ch
Milord pourra perdre le gouc de
:.ces
colifichets
,
lorfqu'il en aura un plus pré–
·cieux pour s'amufer. Pardon , Charlotee ;
~.mais
tour ce que vous 11útvez die jufqu'a pré–
fent, he fenr-il pas un peu le colifichec?
-
Mifs Grand.
Les épitheres de
prlcieux,
de
jeune,
de
joli,
font paffer les termes les plus
~m~
1
Sir
Ch.
Mais le chevalier Watkins efi-il
· plus de vocre gout .que milord
G ...•
?
Mifs Grand.
Je pe Je erais pas: je
n'ai
pá$
ú
bonne opÍllion de_ fon nanuel.
Sir Ch.
Je Cuis ravi , Charlotee, que vous
faffiez ces diíl:inétions.
Mifs Grand.
Parce que vous les croyez
né–
ceffaíres apparemment pour une fernme qui
penfe au mariage.
Sir Ch.
J'ai rec;u de luí u11e fettre, a laquell'e
je ne puis me d!fpenfer de répondre. Il me
preffe de le fervir auprt:s de vous. Me direz·
vous , chere
f
cet1r, ( en lui do1mant
la
leme)
ce que je dais lui écrire ?
·
Mifs Grand. (A
pres l'avoir parcourue ).
Commertt? Le pauvre horrirne efr fortamou–
reux.Maisj'aurois trap de peinealui appren·
dre
l'
otthographe. Cependant
il
fe
vanre de
favoir le fra:nc¡:ois
&
l'italien f
ur
le bout d11
doigt.
(
Elle commenc¡:oít
a
mem:e
la
leme en
pieces ).
;N,
(*)
Oa a
déja
v11
qu'ellc
l'avoic uillé
de ce
gods1