nu
C1-niv.
GRANnrsso~
119
Mi_ladi L....
;¡.
fait remarquer qu'au miliea
de fon mécontentement , il n'avoit point
oub1ié qu'il ,étoit fi.-ere
~
1:>c
qu'en difant qu'il
úgifToic du bonhtur
d~
Charlott(},
il
avoit
iijouté
:rC:I
par conflquent du mfen.
Je dais faire une aucre remarque
a
l'hon,.
neur de
úr
Charles , a repris
milorµ
L.... &
j'efpere,
ID?
fceur, qu'.\;!lle
ne vous offenfera
poi)1t.
Il
p.'
a pas tou,ché
~
le
moj.nsµu ip.ond.e,
a
l'aveucur.e .done il vous
a tirée,
.quoiqu~
étímt
íi.
récente, le fouv.enir doive Jui en etr!!
fort préfenr.
C'
eíl: une marqi+e
~vidente ~:u'il
11e penfe poinr.a ble,ffer,
&
qu'il n'a
p~
daµ–
tre
vue que de vous fervir.
Il
me femble , Milord , H-elle répondu
en
rougiífant, qqe
:vous
auriez p
u m'épar–
gner cene réfle:xion. Je ne vpis
poi.ntce
gui oblige l'un de mes denx fre
res a rap–
peller ce que
l'
aurre a
la
bonté de laiífer dans
l'oubli. En un mot, Milord, je n'ai point
cie remyrc1ments
a
vous fair,e p_our votre re–
m;v:que.
Cene réponfe a rou_ché l'excellente mi–
ladi L .... Elle a prié Charlotte (le ne pas
blamer fon mari. Vous perdriez ma pitié •
lu.i a-e-elle dir. Ne fommes-nous pas
un.ist_ous ql.latre dans une men)e caufe
?
&
nosc~urs
ne doiyent-iJs pas s'ouvrir ayee;;
4..,
berré?
J3on
!
s'eíl:
écri~e
l'autre. J'ai done
a
pré.....
f
ent la femme
&
le mari fur les bras. PlUt
aü grand Dieu du ciel que je fuífe mariée ;
pour avoir quelqu'w1
~an§
mon
p!lrri
1
J