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offrent
ici
des converfations inglnieufes, olt le
carac1ere des a&eursfefourient avec beaucoup
d'agrément
fl
de vi1•acit!.
Le
c!zevalier Gran–
diflon,
ch.armé des lettl'es de mifs Byron, luí
enfaitdes complimentsJijlatteurs, qu'd/e en
eft
fúrpri{e, elle qui n'y 11oit qu'un jimple récit de
ce
fJUÍ
lui ejl arrivé
a
Londres
,
per¡dant un
P–
¡our de quelques femaiñes,
f.¡
l'aEtentatdu clze·
va./ier Har.era1 1e Pollexfen, dont flr Charlesfa.
>'oit dlja le:. princi>pales círconjlances
;
car on.
s'imagine bien que parmi
l!tS
lettres, eilC,.n'aJ1oit
pas communiqul cel/es qui contiennenf l'ayeu
de
fa
paffion. Sir C!1arles recommence a pre.lfer
m!(s
Chqrlottefur les difpojitions
de
fon ccrur,
Elle
continue de fe dlfend;e par mille détours
,
IJUÍ
donnent lie11;
J
de nouveaux reproches,tantót
enjoués
f:I
tantót flrieux. Enfn /'on convient
fil'
elles'expliquera nettement avec mifs
By
ron,
eueflrCharlesprie de luí apprendre alórs les fen–
timents de fafaar dans un entretiefl particulier,
D '
aatres inciden
es
lui donnenr /ieu de raconter
lefers1ice
q~'il
avoit rencju
J
M.
Danby.
C'ejl
une aventure affe{
bi~arre
,ou
Ja vie& cell{! d4
fon a111i ltant mer1acles
par
des i·oleurs noc!'
turnes, il a.JJoit employé heureufement la pru–
pence
f:I
la volear. Dans la derniere de ces Ion.
gues com•erfations, on s'opperfoitqu'iÍejl agitl,
'¡l
al'oue qu'il
a
re<;u des lettres qui lui c111ifent
de l'inquiltw!e,
f:I
bientót
il
fe retire apee le
dofleurBarlet .1'rfifs
By
ron finir tputes fes dlpl–
~/i~s
p{lr une apojlifle du rendredi m(1tin. Elle
Jau tous lesfecrets de mij:S C/14rlotte. Elles'at-
·fertc(
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