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l!

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NI)

t

s s o

N.

I

1-r

lai a demandle. Ceue penfée l'agite beaucoup:

mais elle n'apas moíns d'inquilcude

f

ur fe$ nou-

11élles qui caufent

l'

agitario

n de

fír Charles. Des

lettres ltrangeres, dit-elle J.fa cou¡Jne. En dou–

te~-vous?

Pourquoi ce mot

d'é

tranger

nepeut–

ilfortir de ma mémoire? Jamaisjeneme

fuis

{enti lecczur

fi

ltroit que dans ces derniers temps;

mais c'ejiun aveu que je vous ai fait vingtfois.

Adieu. Cette énorme lettre ne[era peut etTe pas

la feule queje ferai partir aujourd hui. le trem

ble pour la matiere qui va s'olfrir.

LE T T RE LV l.

Mifs B

:Y

R

º

N

,

a

Mifs

s

E

.z:

B

r.

Vendredi

~

24 Mars.

LA

conférence ,.rna chere, cette confé–

rence que j'attendois en trernblant, vient de

finir. Et quel eíl: le réfultat? Vous en iugerez

par toutes les circoníl:ances quevousallez lire.

Mifs Grandiffon

&

fes amantS n'ont pas

été

nos feuls fojets. Comptez que je vous .reverrai

bientot, chere Lucie ; mais , malgré tout ce

qui s'efr paífé , je ne laifferai

p'lsd'etre'exaél:~

fur les dérails. Eh! que s' efr-il paffé ? Lifez ,

ma chere.

Sir Charles nous a tenu compagnie

a

dé–

je~ner.

Il eíl: enrré d'un air

fort

grave ; mais

bienté>t la gravité a fait place aux accompa–

F

3

•.