t2'6
·.
Hr~TOilll!
·
~hements
ordir1aires de fon vifage, qui
fottt
ia douceHr
&
la honré.
· Milord luí
a
rémoignél'inquiétudeotinous
étions depuis bier au foir, fur les nouveaux
,,
·fujets de peine qu'il avoit trouvés dans fes
lettres. Emilie, fans ouvrir les 1evres , a
fatt
.kt
íiem11e dans fes
yel'l.x.
Mifs Grandilfon
a
-
prts une ·contenance {érieufe. Miladi
L......•
.avo.ltl'i:nipatiemce peinre
fur
fon charmant vi-
1
•
fage;&
le·doél:eur Barlet s'eft tenu affis, de
l'air d'un
~mme
ºqui eíl: déterminé au
ft...
lence. Pour moi , je fo,ppofe gu'on a:uroit lu
.•
-..dans
mes
rrai
ts la crainte
&
l'efpérance,
-p:!í–
ragée comme j'érois entre_l'une
&
l'aurre,
&
rie fachant
'!i.
je
-~e
...
ois fouhaiEl}r la confé–
rence aru1oncée. Auffi me fuis-je fentie les
jotres
hrfifances.
Sir Charles a répondu : n'admetrons ríen
que
d~agréáble,
Milord, dans cecte délicieufe
compagnie.
11
s'efl: iQformé civilemenc de
ma
.·
:famé~
&
de
la
maniere dont j'a:vois palfé
la
0
'Jluit
1 ,
a
'l'occaíiun a'ulJ. rl;iume fort Iéger,
·.qui changeoit un peu
ma
voix.
11
a
voulu
fa–
voir d'Emi'lie, pourquoi elleparo.iífoit trifte;
ae
mílorCl & miladi
L ...
quand ils
fe
propo–
'foient de r.etourner
a
la ville ; de mifs Graia–
ditfon , ce qui lui dom1oit l'air
li
mlditatif;
'
e'
eft-fon-expreffion.. Ne.
voyez~vous
,pas, mifs
Byron, a-t-i.I dit
-en
fouriant vers moi, que
Charlotte n'a pas encare achevé de
fe
décer-
..miner for l'humeur qu'elle: prencL:a dans
le
quart-d'heure qui va fuivre
?
-
Je foi
¡Ü
répondu que
1~ifs
Charlotte
ni~