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.

112.

HIST0IllE

Sir C/z.

Je vous en donne un; c'eíl: de

fuí..;

vre votre inclination.

Mifs Grand.

Suppofez que

ú

;e connoif–

fois la vc>tre ) elfo emporteroit la balánce.

Sir Ch.

Cette balance dl:-elle égale?

Mifs Grand.

C'

eíl: ce que j"e ne dis_pas non

plus.

-

Sir

C!z.

Congédiez done milord

G...•

Mifs Grand.

En vérité, mon &ere, vous

étes ffiché contre moi.

Sir

C!z.

(

S'adreífa!1t

a

moi ). Je fuis fur

>

mifs Byron , que for les points de cette na–

ture, je trouverai en vous une freur bien

dif·

férente , quand

j'

aurai le plaiúr de lire vos.

lertres. M. Reves m'a dit un jour qu'apres

avoir ime fois confulté vorre creur, vous ne

teniez jamais perfonne en fufpens.

Mi{s Grtmd.

Mais que fais-je,

111011

fi:ere,.

íi

j'a: confolcé le mieJ..1.

Sir Ch.

Alors tout change: je

n'

ajoute point

un mor. Seulement, lorfque vous vous ferez

confultée , je vous demande en grace de

me

communiquer vos intentions ,,pour me don·

ner le pouvoir de vous fervir.

Mifs Grand.

Je fuis avec les meilleurs amis

q1:1e j'aie au monde. Milord, que! eíl: votre

avis

?

Sir Charles ne paroít pas difpof€

a

me

donner le íien.

Sir Ch.

C'eíl:uni.quement par égard' vos

·inclinations.

Milord L .••.

J'ai tres-bonne opinion de

lllilord

G....

QueHe eíl: la veme,

ma

chere

?

(en s'

~<lreifant

a

fa

fe1ume )•