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s
T
o
J
Th
l!
ne
fit
pas difficulté de la reprendre
?
E.lle
obcinc de
fa
pitié ce qu'elle ne pouvoit plus
accendre de fon amour ;
&
dans cette humi–
liation rneme ) elle n'en ufa pas mieux a:vec
un bomme auquel il écoic plus faGile de par–
donner que de punir. C'eíl: avec douleur que
je rappelle d'afli-eufes circonfiances; mais
la
mémoire de mon ami , je le répéte , ne doié
pas étre bleíTée par
de.~
impoíl:ures. Com–
bien de
fois l' ai-jevu pleurer des exces de
fa
femme,
penda.nequ'elle en faifoit gloire?
Je ne c
ondamnepoint vos Iarroes , cherc
Emilie; mais je veux les e1fuyer.
Il a pris le mouchoir de
fa
pupille ; & lui
en a ter1drernenc effuyé le5 joues. J'en ai dit
affez , a-t-il reQris , pour la juftification de
votre pere. Paífons
a
d'aucres endroirs de
la
lettre qutvous affiigeront moips.
Vocre mer
e vous demande un vifüe. Elle–
ell , die-elle,
da.nsune extreme irnpa·tience
de vous voir
& devous ferrer dans fes bras,
Elle vous félicite for vos progres. Elle vous
recommande pathétiquement de ne pas la
méprifer.•... Ma chere fille, vous recevrez
fa
vifüe.Lechoix du lieu Jépendra
J'
elle-méme,
pourvu que je fois préfenc. Je vous ai cqu–
jours die que vous devez mettre de
la
dif–
tinlbon entre le ciiroe
&
celle qui s'en eft
noircie. L'un mérite votre horreur, l'autre a
droit
a
votre pitié. Dices , ma chere , éces–
vous difpofée
a
voir votre mere? Je le fou–
haire•.••••
~···
Q1:1e les coupabks méme n.e
f
t