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devoirs domeíl
:iques, &le tour d'e(prit
qui
fait que dans
l'
occaíi.onune femme n'
a:
pas
honte de la pr
ariquer. Cependant, com,me
fon neven. doit e(re riche ) il déclare que la
fortune eíl: le moindre des avanrages qu'il
déíire dans
fa
niece ;
qu'i~
lni foohaireroit
feulement huir ou dix mille livres íl:erlings,
afin.qu'il ne paroiífe pas que ce foit purement
un rnariage d'a1nour, co11ame
íi
ion neveu
avoit moins confuh:é fon jugement que f€s
yeux. Lorfqu'une filie , dit-il , a cette dor,.
e'eíl: tmepreuve que les parents dont elle fore–
font honnerement établis,
&
qu'elle n'aura:
pas.tropcl'obligational'hommequ'elle épouf
e~
Vous voyez que ce n'eíl: pas la prudence qui
manque au vieux
chevalier. Mais j'oubliois
une de.s principale
s conditions.Safurure1Ñece
doir erre une belle
fenu.ne. On ditqu'il fe fait.
honneur
d.'
aime.r
les beaux chevaux.
&
les:
beaux chiens,
&
qu'i-1 fait des.comparaifon.S'
polie
s entre les a.nimaux plus ou m0ins no- .
bles,
Lui-me.me, cornme vous Jugerez par
fa
íi
ngularité, eíl: un vieux garc¡on, qui ,
n'ayanc jam.ais été marié, s'irnagíne qu'on
fera une femme expres pour
fort
neveu ,
&
qui infifre , avant que d-e la conno1tre, for
des qualirés dont
il
ne trnuvera peut-etre pas.
une [euledans
fa
niece.
Moníiem: Fouler .m'a vue, pour
fa
pre–
rniere
fois,
chez inadame Reves. Je ne puis.
dire qu'il ait ríen de
défo~réable
dans la
fi–
gnre; mais
il
me femble qti'il n'a point
l'
atne
que je. fouhaiterois dans un honuti.e
a
qui.
i~